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Renzo Samaritani
The fragile but strong friend next door, in search of Love, inner Beauty and whatever else the life and a trip to India will dedicate her. Stefania through the latter will explore costumes, customs, traditions and the different religions that coexist with related Divinity, ascetics and celebrations. Finally she will know the Essence. It will be like retiring in a beautiful and unspoiled glimpse of Nature, where there is nothing and no one but the encounter and profound communion with one's self.”I loved it for aesthetic reasons and for the sensitivity you have in telling, a truly rare quality – nowadays, most of the writers get some writing done in such a rude way… you have class instead, and sensitivity and sense of narrative, you are one of those storytellers who I would keep listening open-mouthed for hours… it is also a delicate moment for me and then, on a personal level, it has ”upset me”… It had a terrible ”cathartic effect”, pleasant and a little scary at the same time… You have a beautiful talent, what I call the ability of real writers to let their readers live other lives by expanding their own experiences that perhaps they will never truly live, but it's like… The autobiographical style is a brave choice. This function is even more needed, but I guess it has not been an easy path… I thank you for having written it and have enriched me!” Laura
Stephen Goldin
”Blasphemisch… sehr anstößig”… und SEHR lustig! Polly kennenlernen ist ein Abenteuer, wo Sie entdecken werden: wieso Schneemänner nicht tanzen können, eine Szene aus einem bisher unbekannten Marx Brothers-Flim, die drei Gesetze der Thermodyamik, und das Geheimnis des Universums. Oh, und außerdem das Rezept für das perfekte Erdnussbutter-Marmelade-Sandwich. Vergessen Sie nur nicht: Nichts ist jemals hoffnungslos, außer wenn sie alle Hoffnung verlieren.„Blasphemisch… sehr anzüglich“ und SEHR lustig. Herodotus Shapiro hatte eine unglaublich schlechte Woche. Seine Frau hat ihn verlassen. Das Finanzamt will Tausende Dollar von ihm. Sein Haus/Buchladen verbrannte. Auf dem Weg um bei seinem Bruder Obdach zu suchen, erhält er einen Strafzettel. Und nun bleibt sein Auto mitten in der Wüste stehen, vor einer großen Villa. Was kann sonst noch schief gehen? Aber nun wendet sich das Blatt zu merkwürdig. Die Villa hat einen Schneemann im Garten in der Wüste im Juli. Das Haus, das von drinnen noch größer als von draußen ist, gehört Polly, der unheimlich schönsten jungen Frau, die er je getroffen hat. Polly ist eine Akrobatin, eine Gourmet-Köchin, eine Psychologin, eine internationale Finanzberaterin, eine Ärztin und eine Frau mit wer weiß wie vielen anderen unglaublichen Talenten. Sie hat eine unglaubliche Bibliothek, eine Kunstsammlung mit allen Meisterstücken aus der ganzen Welt und einem Band eines bisher unbekannten Marx Brothers-Films. Ihr Toilettenpapier ist tatsächlich aus Seide. Und sie scheint einige geheimnisvolle Pläne für ihn zu haben.... *** „Alle Hände an Dekalog! Eine Hauptfigur mit der sich Leser einfach identifizieren werden können und mitfühlen können, eine klassische Reisegeschichte, erzählt mit Witz, Weisheit und betrügerischer Einfachheit, und der interessanteste Gastauftritt je. Was könnte man dabei nicht mögen? Vielleicht wollen Autoren, die versuchen, ein Buch wie Polly! zu schreiben einen Schlag ins Gesicht für ihre Dreistigkeit (um gewöhnliche Weisheit zu zitieren), aber nicht, wenn sie es schaffen, es so unterhaltsam zu machen.“ Spider Robinson, Co-Autor des Awesome Indie Authors Medal of Approval und es erhielt eine 5-Sterne-Bewertung von Readers Favorite
Guido Pagliarino
En l’an 1530, Paolo Grillandi, juge pontifical et président du tribunal séculier de Rome, enquête sur un homicide turbide et un enlèvement ignoble, parvenant, peu à peu, et non sans en payer un lourd tribut, à éclaircir d’obscures agissements de personnages excellents acquis au satanisme, à l’assassinat et à la sexualité la plus bestiale, et livrant finalement à la justice des auteurs, non pas d’un mais d’une longue série de délits, qu’il condamnera à être brûlés, selon la loi de l’époque ; mais bien que longue, dangereuse, et minée par les attentats à sa vie, c’est le chemin que le magistrat doit parcourir pour aboutir à la preuve. En même temps, de chasseur impitoyable de sorcières, il se convertit en homme perplexe et clément à la suite à certaines expériences et rencontres, en premier lieu celle du jeune et très culte évêque Micheli qui était parmi les quelques ecclésiastiques de cette époque à combattre le fanatisme au nom de l’adorable Raison divine. Dans ce climat de chasse…En l’an 1530, Paolo Grillandi, juge pontifical et président du tribunal séculier de Rome, enquête sur un homicide turbide et un enlèvement ignoble, parvenant, peu à peu, et non sans en payer un lourd tribut, à éclaircir d’obscures agissements de personnages excellents acquis au satanisme, à l’assassinat et à la sexualité la plus bestiale, et livrant finalement à la justice des auteurs, non pas d’un mais d’une longue série de délits, qu’il condamnera à être brûlés, selon la loi de l’époque ; mais bien que longue, dangereuse, et minée par les attentats à sa vie, c’est le chemin que le magistrat doit parcourir pour aboutir à la preuve. En même temps, de chasseur impitoyable de sorcières, il se convertit en homme perplexe et clément à la suite à certaines expériences et rencontres, en premier lieu celle du jeune et très culte évêque Micheli qui était parmi les quelques ecclésiastiques de cette époque à combattre le fanatisme au nom de l’adorable Raison divine. Dans ce climat de chasse aux sorcières que connut la Renaissance, entre de multiples coups de théâtre qui se multiplient jusqu’aux dernières pages de ce livre, le lecteur assistera, entre autre, à un duel d’épées avec le diable en personne, au sac de Rome, rencontrera des philosophes et des mages gnostiques, des esclaves, des brigands, des saints et des ensorcelés, tout cela dans une Italie désormais proche du Concile de Trente, différente de celle d’aujourd’hui, et pourtant, similaire. Il se trouve dans ce roman, historique mais aussi policier par certains aspects, de grandes figures passées à l’Histoire et des personnages historiques mineurs comme l’avocat Ponzinibio, adversaire des violences portées tant par l’Inquisition catholique que par les tribunaux religieux protestants et dont l’image annonce, avec beaucoup d’anticipation, les adversaires de la peine de mort tel Beccaria ; et des portraits royaux tel Balestrini, lui aussi ensorcelé, et le terrible inquisiteur dominicain Spina. Ce même protagoniste Grillandi est une figure historique, même si en réalité, il n’était qu’un avocat fanatique dénonciateur de sorcières, davantage qu’un juge pontifical. Parmi les personnages imaginaires, il y a Mora, jeune amante soumise au juge et qui cache des secrets horribles et tourmentés, figure de premier ordre, pour avoir livré elle-même au magistrat la solution de l’enquête. D’autres personnages sont issus de l’imagination, tels que l’énigmatique chevalier Rinaldi et le diabolique prince Biancacroce, figure de l’ombre et jamais au premier plan, telle une marionnette : une sorte de chef mafieux caché, doublé par Rinaldi qui, lui, agissait à découvert. L’évêque Micheli est, lui aussi, un personnage de fiction, même s’il préfigure d’autres prélats qui, eux, ont existés, comme Pole, Sadoleto et Morone qui, tous, furent accusés d’hérésie par l’Inquisition pour avoir prêché la charité évangélique contre les violences des inquisiteurs ; tout comme des personnages tels que le curé de Grottaferrata, du sicaire Trallo, de l’épéiste Fuentes Villata, du chef brigand et frère de Marietta, du juge Salati et du lieutenant Rissoni. Le roman se réfère à la mentalité du 16ème siècle, évidemment, car comme le savent bien les historiens, il faut regarder le passé en se libérant des façons de sentir contemporaines, pour éviter les anachronismes ; par exemple, la peine capitale est considérée de nos jours, comme une chose atroce, alors qu’au 16ème siècle et pour longtemps encore, elle était vue comme une punition et on pensait que la mort amnistiait l’assassin repenti de tous ses péchés, et l’envoyait tout droit au Paradis ; c’est ainsi que le personnage de l’évêque Micheli n’arrive pas, même en invoquant ses idéaux, à s’opposer aux condamnations à mort des assassins ; au contraire, il approuve la sanction du bûcher infligée aux membres du clan criminel satanique découvert et arrêté par le juge protagoniste Grillandi, vers la fin du roman. Note pour la traduction : L’œuvre originale en italien contient
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