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Danilo Clementoni
” Nous étions repartis. Une seule de nos années solaires s’était écoulée depuis que nous avions été obligés d’abandonner leur planète de toute urgence, mais pour eux, pour les Terriens,3600 années étaient passées.Qu’allions-nous trouver? ”Nibiru, la douzième planète de notre système solaire, a une orbite elliptique à l’extrême, rétrograde et remarquablement plus grande que celle de toutes les autres planètes. Elle met en effet 3600 ans environ à faire un tour complet autour du Soleil. Depuis des centaines de milliers d’années, ses habitants, profitant de ces rapprochements cycliques, nous ont systématiquement rendu visite, influençant à chaque fois notre culture, nos connaissances, notre technologie et jusqu’à l’évolution même de l’espèce humaine. Nos prédécesseurs leur ont donné bien des noms, mais celui qui, depuis toujours, les représente le mieux, est celui de « Dieux ». Atzakis et Pétri, deux sympathiques habitants de cette étrange planète, reviennent sur Terre à bord de leur vaisseau spatial Théos pour récupérer un mystérieux chargement, très précieux, caché lors de leur dernière visite. Un récit captivant, drôle, mais aussi plein de suspense, et qui propose une relecture d’événements historiques qui pourrait bien vous bouleverser.
Guido Pagliarino
En l’an 1530, Paolo Grillandi, juge pontifical et président du tribunal séculier de Rome, enquête sur un homicide turbide et un enlèvement ignoble, parvenant, peu à peu, et non sans en payer un lourd tribut, à éclaircir d’obscures agissements de personnages excellents acquis au satanisme, à l’assassinat et à la sexualité la plus bestiale, et livrant finalement à la justice des auteurs, non pas d’un mais d’une longue série de délits, qu’il condamnera à être brûlés, selon la loi de l’époque ; mais bien que longue, dangereuse, et minée par les attentats à sa vie, c’est le chemin que le magistrat doit parcourir pour aboutir à la preuve. En même temps, de chasseur impitoyable de sorcières, il se convertit en homme perplexe et clément à la suite à certaines expériences et rencontres, en premier lieu celle du jeune et très culte évêque Micheli qui était parmi les quelques ecclésiastiques de cette époque à combattre le fanatisme au nom de l’adorable Raison divine. Dans ce climat de chasse…En l’an 1530, Paolo Grillandi, juge pontifical et président du tribunal séculier de Rome, enquête sur un homicide turbide et un enlèvement ignoble, parvenant, peu à peu, et non sans en payer un lourd tribut, à éclaircir d’obscures agissements de personnages excellents acquis au satanisme, à l’assassinat et à la sexualité la plus bestiale, et livrant finalement à la justice des auteurs, non pas d’un mais d’une longue série de délits, qu’il condamnera à être brûlés, selon la loi de l’époque ; mais bien que longue, dangereuse, et minée par les attentats à sa vie, c’est le chemin que le magistrat doit parcourir pour aboutir à la preuve. En même temps, de chasseur impitoyable de sorcières, il se convertit en homme perplexe et clément à la suite à certaines expériences et rencontres, en premier lieu celle du jeune et très culte évêque Micheli qui était parmi les quelques ecclésiastiques de cette époque à combattre le fanatisme au nom de l’adorable Raison divine. Dans ce climat de chasse aux sorcières que connut la Renaissance, entre de multiples coups de théâtre qui se multiplient jusqu’aux dernières pages de ce livre, le lecteur assistera, entre autre, à un duel d’épées avec le diable en personne, au sac de Rome, rencontrera des philosophes et des mages gnostiques, des esclaves, des brigands, des saints et des ensorcelés, tout cela dans une Italie désormais proche du Concile de Trente, différente de celle d’aujourd’hui, et pourtant, similaire. Il se trouve dans ce roman, historique mais aussi policier par certains aspects, de grandes figures passées à l’Histoire et des personnages historiques mineurs comme l’avocat Ponzinibio, adversaire des violences portées tant par l’Inquisition catholique que par les tribunaux religieux protestants et dont l’image annonce, avec beaucoup d’anticipation, les adversaires de la peine de mort tel Beccaria ; et des portraits royaux tel Balestrini, lui aussi ensorcelé, et le terrible inquisiteur dominicain Spina. Ce même protagoniste Grillandi est une figure historique, même si en réalité, il n’était qu’un avocat fanatique dénonciateur de sorcières, davantage qu’un juge pontifical. Parmi les personnages imaginaires, il y a Mora, jeune amante soumise au juge et qui cache des secrets horribles et tourmentés, figure de premier ordre, pour avoir livré elle-même au magistrat la solution de l’enquête. D’autres personnages sont issus de l’imagination, tels que l’énigmatique chevalier Rinaldi et le diabolique prince Biancacroce, figure de l’ombre et jamais au premier plan, telle une marionnette : une sorte de chef mafieux caché, doublé par Rinaldi qui, lui, agissait à découvert. L’évêque Micheli est, lui aussi, un personnage de fiction, même s’il préfigure d’autres prélats qui, eux, ont existés, comme Pole, Sadoleto et Morone qui, tous, furent accusés d’hérésie par l’Inquisition pour avoir prêché la charité évangélique contre les violences des inquisiteurs ; tout comme des personnages tels que le curé de Grottaferrata, du sicaire Trallo, de l’épéiste Fuentes Villata, du chef brigand et frère de Marietta, du juge Salati et du lieutenant Rissoni. Le roman se réfère à la mentalité du 16ème siècle, évidemment, car comme le savent bien les historiens, il faut regarder le passé en se libérant des façons de sentir contemporaines, pour éviter les anachronismes ; par exemple, la peine capitale est considérée de nos jours, comme une chose atroce, alors qu’au 16ème siècle et pour longtemps encore, elle était vue comme une punition et on pensait que la mort amnistiait l’assassin repenti de tous ses péchés, et l’envoyait tout droit au Paradis ; c’est ainsi que le personnage de l’évêque Micheli n’arrive pas, même en invoquant ses idéaux, à s’opposer aux condamnations à mort des assassins ; au contraire, il approuve la sanction du bûcher infligée aux membres du clan criminel satanique découvert et arrêté par le juge protagoniste Grillandi, vers la fin du roman. Note pour la traduction : L’œuvre originale en italien contient
Gabrielle Queen
A wonderful love story from our time, ispired by a real story. Spirituality and romance, humor, charming descriptions. Selena, the protaginist of the story, is 23 years old and she bored by her office life and dailylife in general. She decides to take an acting class, where she meets famous people, one of these is Mihai, a famous actor. He ask her to play in a movie with him. During the practices, they fall in love. During the trip with all the people from the acting class, they have a night full of passion. Other stuff happen…but you have to discover them! Enjoy one of the most romantic love story from our time!
Guido Pagliarino
L’autore aveva scritto questi due racconti lunghi, giunti ormai, con varianti, alla terza edizione, nel 1994 e nel 1995, di poco anteriormente al sorgere della moda del giallo e poliziesco italiani. Sono opere basate sulle figure di Vittorio D’Aiazzo, commissario e poi vice questore, e di Ranieri Velli, suo aiutante e amico, personaggi che, l'uno o entrambi, ritornano in altri romanzi e racconti di Guido Pagliarino: è uscito da poco per i tipi dell'Editrice Genesi l'ultimo romanzo sul personaggio D’Aiazzo, il prequel ”L'ira dei vilipesi”. In tutti questi lavori si può notare attenzione per le psicologie e gli ambienti, questi del passato più o meno recente. Ne erano e sono destinatari i lettori di narrativa in generale che, pur non disdegnando opere che trattino di delitti, non abbiano gusti alla paprika; non ci si aspetti dunque racconti alla Raymond Chandler o James Ellroy o, per stare in Europa, alla Manuel Vazquez Montalban.Dalla prefazione dell’autore: Avevo scritto questi due racconti lunghi, o romanzi brevi, nel 1994 e nel 1995, di poco anteriormente al sorgere della moda del giallo e poliziesco italiani, lavori basati sulle figure di Vittorio D’Aiazzo, commissario e poi vice questore, e di Ranieri Velli, suo aiutante e amico, personaggi che, l'uno o entrambi, ritornano in altri miei romanzi e racconti; l'ultimo romanzo sul D'Aiazzo è uscito, per i tipi dell'Editrice Genesi (2017) e di Tektime Editore (2018), rispettivamente in formato cartaceo e nei formati e-book: è il prequel ”L'ira dei vilipesi” ambientato durante le 4 Giornate di Napoli nel 1943. Sempre, in questi lavori ho prestato in primo luogo attenzione alle psicologie e agli ambienti, questi tutti del passato più o meno recente con qualche nostalgia per quella Torino della mia adolescenza e giovinezza che più non esiste. Ne erano e sono destinatari i lettori di narrativa in generale che, pur non disdegnando opere che trattino di delitti, non abbiano gusti alla paprika; non ci si aspetti dunque racconti alla Raymond Chandler o James Ellroy o, restando in Europa, alla Manuel Vazquez Montalban; ma neppure, d'altro canto, si attendano indagini arzigogolate, ben poco verosimili, come quelle ideate da Agatha Christie. L’azione del paio di racconti inclusi in questo libro si svolge in un periodo ancora pre-cibernetico, tra la fine degli anni ’50 e l’inizio dei ’60 dello scorso secolo […]. Era un’epoca in cui non c’erano ancora il personal computer e il telefonino, tutte le famiglie avevano la radio ma pochissime la televisione, in bianco e nero, canale RAI unico: però senza pubblicità, a parte il simpatico e oggidì quasi leggendario “Carosello”. Una Torino, insomma, in cui un investigatore poteva ancora operare quasi come i suoi colleghi dei gialli e polizieschi classici europei anni ’20-50. Nel primo racconto, ”D'Aiazzo e il mostro a tre braccia”, viene picchiato a morte da ignoti un antiquario e restauratore torinese, Tarcisio Benvenuto, uomo dal fisico deforme che, alla nascita, era stato abbandonato dall’ignota madre ed esposto alla carità delle suore d’un istituto religioso torinese. Dal nulla, lavorando senza posa era divenuto proprietario d’un negozio all’ingrosso e al dettaglio in zona Porta Palazzo […]. Nel secondo racconto, ”D'Aiazzo e i satanassi”, steso a terra sul proprio sangue è ritrovato per istrada, da una camionetta della Polizia, il cadavere d’un attempato piccolo industriale, il commendator Paolo Verdi, il cui giovane figlio Carlo, dottore in psicologia, è in prigione in attesa di giudizio, accusato di violenza carnale a Giuseppina Corsati, dattilografa del padre poco più che adolescente; ma egli dichiara al commissario D’Aiazzo d’essere privo di colpa. In carcere è fatto oggetto di brutalizzazioni da parte di altri detenuti […]. Di certo la deflorazione di Giuseppina c’è stata, ne presenta i segni, però non potrebbe, forse, la famiglia di lei aver architettato la violenza per averne un risarcimento finanziario? […]. Intervengono nella storia il poco intelligente Carlone che aveva avuto in passato nascosti legami con papà Verdi, e un filosofo libero docente all’Università di Torino ed ex ufficiale nella Repubblica di Salò, presso il cui fratello, che ben diversamente era stato membro del Comitato di Liberazione Nazionale, lavora quale cameriera l’ambigua Luciana Corsati, madre di Giuseppina. Dal profondo della vicenda affiorano anche parlamentari tutt’altro che adamantini e, a un certo punto, ne emana una sulfurea esalazione infernale che il commissario ventilerà riuscendo, o quasi, a fare giustizia.
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