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Anton Soliman
Le Grand Ski-lift : un gigantesque réseau de remontées mécaniques permettant aux skieurs d’évoluer dans un domaine qui couvre l’hémisphère boréal tout entier. Poussé par son besoin de renaissance, désirant oublier le Monde connu et les règles de la Tradition, Oskar Zerbi s’introduit illégalement dans ce circuit. Dans cette infinité de pistes et de sommets blancs, il est poursuivi par un mystérieux interlocuteur, et fait des rencontres étranges qui le renvoient aux bribes d’un passé oublié. Investi d’une dangereuse mission, il comprendra petit à petit la nature réelle de sa quête. Se dirigeant toujours vers le nord, il se réappropriera la connaissance de lui-même et de son passé, découvrant à quel point il est lié au Grand Ski-lift. Dans les terres désolées du Nord extrême, il accèdera enfin à la révélation ultime…
Guido Pagliarino
En l’an 1530, Paolo Grillandi, juge pontifical et président du tribunal séculier de Rome, enquête sur un homicide turbide et un enlèvement ignoble, parvenant, peu à peu, et non sans en payer un lourd tribut, à éclaircir d’obscures agissements de personnages excellents acquis au satanisme, à l’assassinat et à la sexualité la plus bestiale, et livrant finalement à la justice des auteurs, non pas d’un mais d’une longue série de délits, qu’il condamnera à être brûlés, selon la loi de l’époque ; mais bien que longue, dangereuse, et minée par les attentats à sa vie, c’est le chemin que le magistrat doit parcourir pour aboutir à la preuve. En même temps, de chasseur impitoyable de sorcières, il se convertit en homme perplexe et clément à la suite à certaines expériences et rencontres, en premier lieu celle du jeune et très culte évêque Micheli qui était parmi les quelques ecclésiastiques de cette époque à combattre le fanatisme au nom de l’adorable Raison divine. Dans ce climat de chasse…En l’an 1530, Paolo Grillandi, juge pontifical et président du tribunal séculier de Rome, enquête sur un homicide turbide et un enlèvement ignoble, parvenant, peu à peu, et non sans en payer un lourd tribut, à éclaircir d’obscures agissements de personnages excellents acquis au satanisme, à l’assassinat et à la sexualité la plus bestiale, et livrant finalement à la justice des auteurs, non pas d’un mais d’une longue série de délits, qu’il condamnera à être brûlés, selon la loi de l’époque ; mais bien que longue, dangereuse, et minée par les attentats à sa vie, c’est le chemin que le magistrat doit parcourir pour aboutir à la preuve. En même temps, de chasseur impitoyable de sorcières, il se convertit en homme perplexe et clément à la suite à certaines expériences et rencontres, en premier lieu celle du jeune et très culte évêque Micheli qui était parmi les quelques ecclésiastiques de cette époque à combattre le fanatisme au nom de l’adorable Raison divine. Dans ce climat de chasse aux sorcières que connut la Renaissance, entre de multiples coups de théâtre qui se multiplient jusqu’aux dernières pages de ce livre, le lecteur assistera, entre autre, à un duel d’épées avec le diable en personne, au sac de Rome, rencontrera des philosophes et des mages gnostiques, des esclaves, des brigands, des saints et des ensorcelés, tout cela dans une Italie désormais proche du Concile de Trente, différente de celle d’aujourd’hui, et pourtant, similaire. Il se trouve dans ce roman, historique mais aussi policier par certains aspects, de grandes figures passées à l’Histoire et des personnages historiques mineurs comme l’avocat Ponzinibio, adversaire des violences portées tant par l’Inquisition catholique que par les tribunaux religieux protestants et dont l’image annonce, avec beaucoup d’anticipation, les adversaires de la peine de mort tel Beccaria ; et des portraits royaux tel Balestrini, lui aussi ensorcelé, et le terrible inquisiteur dominicain Spina. Ce même protagoniste Grillandi est une figure historique, même si en réalité, il n’était qu’un avocat fanatique dénonciateur de sorcières, davantage qu’un juge pontifical. Parmi les personnages imaginaires, il y a Mora, jeune amante soumise au juge et qui cache des secrets horribles et tourmentés, figure de premier ordre, pour avoir livré elle-même au magistrat la solution de l’enquête. D’autres personnages sont issus de l’imagination, tels que l’énigmatique chevalier Rinaldi et le diabolique prince Biancacroce, figure de l’ombre et jamais au premier plan, telle une marionnette : une sorte de chef mafieux caché, doublé par Rinaldi qui, lui, agissait à découvert. L’évêque Micheli est, lui aussi, un personnage de fiction, même s’il préfigure d’autres prélats qui, eux, ont existés, comme Pole, Sadoleto et Morone qui, tous, furent accusés d’hérésie par l’Inquisition pour avoir prêché la charité évangélique contre les violences des inquisiteurs ; tout comme des personnages tels que le curé de Grottaferrata, du sicaire Trallo, de l’épéiste Fuentes Villata, du chef brigand et frère de Marietta, du juge Salati et du lieutenant Rissoni. Le roman se réfère à la mentalité du 16ème siècle, évidemment, car comme le savent bien les historiens, il faut regarder le passé en se libérant des façons de sentir contemporaines, pour éviter les anachronismes ; par exemple, la peine capitale est considérée de nos jours, comme une chose atroce, alors qu’au 16ème siècle et pour longtemps encore, elle était vue comme une punition et on pensait que la mort amnistiait l’assassin repenti de tous ses péchés, et l’envoyait tout droit au Paradis ; c’est ainsi que le personnage de l’évêque Micheli n’arrive pas, même en invoquant ses idéaux, à s’opposer aux condamnations à mort des assassins ; au contraire, il approuve la sanction du bûcher infligée aux membres du clan criminel satanique découvert et arrêté par le juge protagoniste Grillandi, vers la fin du roman. Note pour la traduction : L’œuvre originale en italien contient
Guido Pagliarino
Dans l’année 1933 en Italie, un disque volant qui s’est précipité sur le sol vient d’être capturé. À bord, trois cadavres humains. Pour Marconi ce sont des martiens, mais il ne sait pas que les commandes du disque ont des écritures en anglais ; en effet pour Mussolini il s’agit d’un produit d’ingénierie aéronautique militaire anglais. C’est seulement le début d’une affaire dramatique qui se développera sur les autres planètes et sur la Terre du futur.L’action est divisée en deux parties.La première s’ouvre sur l’année 1933 en Italie, un disque volant qui s’est précipité sur le sol vient d’être capturé. À bord, trois cadavres humains. Pour Marconi ce sont des martiens, mais il ne sait pas que les commandes du disque ont des écritures en anglais ; en effet pour Mussolini il s’agit d’un produit d’ingénierie aéronautique militaire anglais. Le disque se révèle tout de suite au lecteur comme une navette de débarquement de la chrono-astronéf 9 qui, depuis l’année 2133, est retournée en 1933, et explose pour une panne En étant à quelque mois du pouvoir d’Hitler en Allemagne, une compagnie de parachutisme germanique, en tuant rapidement toutes les milices fascistes chargées de surveillance du disque, vole les parties portables et aussi les missiles que le vélivole du futur a en dotation, dont lequel deux puissantes bombes. Grâce à des études de retro ingénierie, les nazistes produisent des armes et des vélivoles qui les porteront en 1939 à conquérir le monde; et il se passe que….C’est seulement le début d’une affaire dramatique qui se développera sur les autres planètes et sur la Terre du futur.Dans la seconde partie, les chrono-astronautes et les scientifiques de la chrono-astronéf 22 décident de changer le sort du planet Tinan en évitant la guerre d’anéantissement qui avait éliminé ses habitants, et il se passe que….Le mal auquel la cause métaphysique reste incompréhensible est peut-être plus éminent aux « personnages” de ce roman, où le lecteur rencontre aussi „ le péché originel “.Le roman dans sa première édition, en papier, électronique et en livre audio édité par 0111 éditions en 2011 (hors catalogue depuis le 31-12-13- © Guido Pagliarino depuis 2014), il se classifica premier au prix « Creativa » VI édition, 2012, section narrative éditée.
Jane Fade Merrick
An illustrated Slice of Life novel. Three lives entwine because of a subtle coincidence. A girl on the edge of society, an extremely rich weird kid and one of the most popular pop stars of the planet.Fade lives a life left on her own, struggling constantly to survive in a society that swallows everyone who doesn’t keep up with its pace; her only company is a kitchen knife and a scar embedded in her leg that reminds her every day of who she is and why she is there. While she’s stealing in a supermarket, she meets Jag, a boy with a disturbing appearance who convinces her to join him in his weird plan: to become the main sponsor of one of the most successful bands of the moment, of which he’s a huge fan, and – apparently – he doesn’t lack the money to do so. She allows herself to be convinced to meet Nef, a typical playboy, who eventually will learn that the world isn’t all at his feet like he thought…
Nicola Rocca
What if morning brought something other than gold? Milan. The body of a man is found in his apartment. He is lying on the floor in an unusual position, with both his hands on his heart. No blood, no cuts. No gunshot wounds. Only a golden necktie perfectly knotted around the victim’s neck. Inspector David Walker of the Police Homicide squad is called to the murder scene. The first clues indicate a crime of passion, but a couple of days later a similar incident occurs. Another man is found dead. Same position; same necktie around his throat. In his mouth, a gold tag with some symbols engraved on it. Walker has no doubts: they are dealing with a serial killer. The one who the press will later refer to as ‘The Necktie Killer’.This is where the seemingly impossible task of catching a killer begins. The investigations fail to produce any results and the killing continues…What if morning brought something other than gold? Milan. The body of a man is found in his apartment. He is lying on the floor in an unusual position, with both his hands on his heart, as if feeling a heartbeat that is no longer there. No blood, no cuts. No gunshot wounds. Strangulation marks on his throat and dark bruises on his wrists. A gold coloured necktie is perfectly knotted around the victim’s neck.The case is assigned to Inspector David Walker, Milan Police Homicide Squad. At his side, assisting with the investigations is his friend, medical examiner Umberto Visconti.The only lead they have to pursue in this case seems to be the murder weapon: a gold necktie. Walker then contacts the Head Office of the necktie’s manufacturer – a well-known brand ¬– hoping to trace its customers.The move leads to a dead end.Walker seeks advice from Arturo Mosetti – an enthusiastic thinker with a passion for riddles – who has in the past assisted him in solving complex cases. Before the medical examiner has submitted his autopsy report, a second body is found in the same condition: lying in a supine position, with both his hands on his heart, dark bruises on his wrists and that unusual gold necktie around his neck.In the second victim’s mouth: something odd- a round gold tag with rough, jagged edges. With symbols engraved on its face.The investigators return to the scene of the first murder and find another gold tag. It’s identical. Only with different symbols. These symbols are a clue left by the killer, but Walker is unable to decipher the unusual code. Only one thing is clear: both murders are the work of the same person. The mystery deepens when it is discovered that the tags are actually made of gold.Walker instructs his team to contact all the Jewellers and Goldsmiths of the city. Surely someone among them must know where these tags came from. Other officers from Walker’s team begin investigating possible suspects. Of particular interest, is a Mr. Merli, whose fingerprints are found at the scene of the first murder. Although Merli is in a relationship with the first victim’s wife and his alibi seems to hold up, Walker keeps him under strict surveillance. The jewellers and goldsmiths soon start providing their information regarding the tags: they are poorly handmade, an amateurish job. None of them has ever seen them for sale. Right when the investigations appear to have stalled, a third victim is found, with the same characteristics as the previous two. The prime suspect is, once again, Merli who, a week before, had threatened to kill the victim during a violent argument with him. The investigators are on his back, waiting for him to make a wrong move.He is under surveillance night and day, but apart from a gambling habit and his marital infidelity, nothing stands out about him. And when a new body is found, he is in the clear. Merli couldn’t have committed this murder: two plain-clothes agents had kept him under surveillance all night. He hadn’t left the house, so he couldn’t be the killer. Unless, of course, he had an accomplice. This is the thought that torments Inspector Walker: perhaps his lover – the first victim’s wife – had helped him commit the last murder. And with the discovery of yet another body, Merli is absolutely ruled out as a suspect. Then something occurs that will unravel David Walker’s life and investigation. Umberto Visconti calls him, asking for help. His life is in danger. The call suddenly drops out . The inspector races to his friend and finds the medical examiner dead. The room is in disarray; the victim’s body is covered in blood. The gold necktie and the tag in the victim’s mouth are a clear indication this murder is the work of the same person: the Necktie Killer, as dubbed by the media. Back to square one. Five victims and no real leads to follow.For Inspector Walker, his friend’s death has now added a personal aspect to the case. While awaiting the results
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